Le pape François très inquiet des actes antisémites dans le monde

Voici un mois, le 8 mars 2019, recevant en audience une délégation de l’American Jewish Commitee, le Pape François a fait part de sa grande préoccupation face à l’augmentation notable d’actes antisémites dans le monde.
Le Pape s’inquiète de la diffusion générale d’un «climat de méchanceté et de colère», propice à «l’enracinement d’excès pervers de haine» et évoque en particulier la «recrudescence barbare d’actes antisémites», comme nous le manifeste l’actualité récente, en France, en Allemagne, aux États-Unis ou en Argentine. Le Souverain Pontife exhorte donc à la vigilance devant un phénomène qui peut conduire aux pires abominations.

L’antisémitisme, une contradiction pour un chrétien

«Pour un chrétien, l’antisémitisme représente une négation de ses propres origines, une contradiction absolue», affirme le Pape avec force. Pour lutter contre cette haine insidieuse, le dialogue interreligieux demeure un instrument incontournable puisqu’il veut promouvoir «l’engagement pour la paix, le respect réciproque, la défense de la vie, la liberté religieuse et la sauvegarde de la création». Forts d’un patrimoine spirituel commun, juifs et chrétiens peuvent faire de «bonnes choses ensemble», note le Pape. Face à une sécularisation toujours plus prégnante de l’Occident, il incombe en effet aux croyants de collaborer afin de «rendre plus visible l’amour de Dieu pour l’humanité», en contrant l’indifférence par des «gestes de proximité». Nous sommes tous gardiens de nos frères, assure François ; et dans un monde où le fossé entre les nantis et les démunis s’accroît inexorablement, «nous sommes appelés à prendre soin de nos frères sans défense : pauvres, faibles, malades, enfants et personnes âgées».

L’engagement des nouvelles générations.

Ce dialogue judéo-chrétien au service de l’humanité requiert l’engagement des jeunes générations, désireuses d’offrir leur contribution. Le Pape souligne donc l’importance de la formation à leur offrir dans ce domaine; l’éducation restant un levier privilégié dans la promotion de chemins de paix, contre la violence.

Au cours de cette audience, le rabbin David Rosen, le directeur international des affaires interreligieuses de l’AJC, a exprimé au Pape toute la reconnaissance du comité pour l’ouverture prochaine des archives du pontificat de Pie XII ; dans un communiqué publié cette semaine, il saluait un «geste immensément important pour les relations juifs-catholiques».

Extrait de Vatican News, système d’information du Saint-Siège.

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Lecture : « La conscience juive de l’Eglise – Jules Isaac et le concile Vatican II »

Vous avez peut-être reçu des livres en cadeau, pour Noël ou le Nouvel An. Un livre, cela peut être une solution de facilité pour le donneur, mais cela peut aussi être l’occasion de découvertes, d’ouverture et de culture. Si parmi les livres que vous avez reçus, se trouve celui de Norman C. Tobias « La conscience juive de l’Eglise – Jules Isaac et le concile Vatican II« , vous avez bien de la chance. Certes, on disposait déjà d’un certain nombre de biographies de Jules Isaac, mais aucune ne se centrait vraiment sur son rôle dans le processus de révision de l’enseignement de l’Eglise catholique sur les juifs et le judaïsme.

Comme le dit si justement Yves Chevalier, directeur de Sens, la revue de l’Amitié judéo-chrétienne de France, dans la présentation qu’il fait de cet ouvrage sur le site de l’AJCF :

« L’ouvrage de Norman C. Tobias permettra d’avoir une juste appréciation du rôle de Jules Isaac et pour comprendre l’origine et les développements du processus qui a conduit l’Eglise catholique à modifier profondément, en notre siècle, le regard qu’elle portait traditionnellement sur le Peuple dont elle est issue. »

Yves Chevalier a par ailleurs beaucoup oeuvré pour que paraisse cette traduction en français de l’ouvrage de Norman C. Tobias.

Il vous faut absolument lire ici sa présentation très fouillée.

Mélinée Le Priol, dans « La Croix », en fait aussi une présentation succincte, que voici :

« Comment un historien républicain, socialiste et juif, co-auteur du manuel d’histoire le plus répandu dans l’entre-deux-guerres [et au-delà], a-t-il poussé l’Eglise à réformer son enseignement sur le judaïsme ? Voilà le destin que retrace cette impressionnante biographie aujourd’hui traduite en français. »

Nous vous souhaitons une bonne lecture

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Conférence Dimanche 14 octobre : Le temps de la rupture entre judaïsme et christianisme

 AJCF de NANTES

 Amitié Judéo Chrétienne de Nantes
06 22 21 71 54 ou 06 78 13 18 37
ajclibac-contact@yahoo.fr
www.ajcnantes.fr
                          L’Amitié Judéo Chrétienne de Nantes
                          vous propose une conférence
 

« Le temps de la rupture

entre le Judaïsme et le Christianisme naissant »

par

 Madame Mireille Hadas-Lebel

Historienne, spécialiste de l’Histoire antique

 

Dimanche 14 octobre 2018 à 18h00

Auditorium de la Manufacture
10 bis, Bd de Stalingrad
44300  – Nantes
 
(Tram Ligne 1 /station Manufacture et stationnement possible sur le Boulevard.) 
  
 
Paf          adhérents AJC       5 €
            non adhérents  :     8 €              
            étudiants -25 ans et religieux :  3 €
Renseignements 06 22 21 71 54
 
Cette conférence est proposée à l’issue de l’Assemblée générale de l’Amitié Judéo-Chrétienne de Nantes. Elle est du plus grand intérêt, à un moment où les recherches, tant du côté juif que chrétien, se focalisent sur cette période des premiers siècles de l’ère courante, où tout a peu à peu basculé entre le christianisme et le judaïsme.
 

 
 

 

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Un livre attendu : la réédition de « Evangile et traditions rabbiniques » du Père Michel REMAUD

L’éditeur (Lessius) nous le présente ainsi :

« Les «Écritures» citées par le Nouveau Testament étaient des Écritures déjà lues et interprétées : la tradition rabbinique ancienne, dans le Targum et le Midrash, représente un maillon indispensable dans la dynamique herméneutique qui va de l’Ancien au Nouveau

Des motifs évangéliques, des arguments pauliniens, des affirmations de la lettre aux Hébreux reçoivent une intelligibilité nouvelle lorsqu’ils sont lus sur fond des traditions premières du judaïsme. La nouveauté du Christ apparaît ainsi dans une lumière nouvelle – réfractée dans la vigilance interprétative du peuple juif.

Cet ouvrage, paru initialement en 2003, devenu un classique et épuisé depuis plusieurs années, a été pour cette édition revu et augmenté. Il est précédé d’une importante préface inédite d’Anne-Marie Pelletier. « 

C’est la présentation officielle. Mais qu’en disent les spécialistes ?  Jean Massonnet, par exemple, bibliste du diocèse de Lyon, enseignant à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Lyon, et lauréat 2016 de l’Amitié Judéo-Chrétienne de France ?

Lisons ce qu’il nous en dit à la fin d’un article paru sur le site de l’AJC France :

« Les explorations de la tradition rabbinique auxquelles Michel Remaud invite le lecteur permettent de mieux connaître et comprendre le Nouveau Testament. Ses auteurs n’avaient pas d’autres références que cette tradition pour établir la nouveauté du Christ. Cette relation permet de se trouver à l’aise avec de nombreuses expressions qui peuvent paraître déroutantes, car elles sont midrashiques. La lecture de ce livre exigeant aidera à mieux saisir comment la nouveauté chrétienne se comprend dans une relation vivante avec la pensée juive qu’elle ne contredit pas mais développe dans la ligne d’une nouveauté toujours à explorer. Concluons par une phrase de la dernière page : « Ceux qui affirment, un peu légèrement, que l’Ancien Testament est pour les juifs et le Nouveau pour les chrétiens donnent par là-même la preuve qu’ils n’ont pas lu le Nouveau » (p. 248).

Mais c’est toute la présentation de Jean Massonnet qu’il faut lire sur le site de l’Amitié Judéo-Chrétienne de France. Lire Ici. Cela peut paraître exigeant, mais c’est tellement éclairant. Et si quelques clercs ou engagés dans l’Eglise de France pouvaient faire l’effort d’une petite étude du Nouveau Testament à la lumière de la tradition juive accompagnés par Michel Remaud, nous ferions certainement quelque progrès dans les relations entre juifs et chrétiens. Entre le christianisme et le judaïsme, certes, mais aussi entre les chrétiens d’aujourd’hui et les juifs d’aujourd’hui, où qu’ils se situent.

Bonnes vacances à tous…, pour ce qu’il en reste !

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70 ans, ça se fête ! 70 ans d’Amitié judéo-chrétienne

Quand il s’agit du mariage, 70 ans, ce sont des noces de platine. Chacun sait que le platine est un métal dur, mais malléable, ductile, précieux, de couleur gris-blanc. Le platine , c’est surtout un métal noble résistant à la corrosion.

Formidable, non ? pour symboliser les 70 ans de l’Amitié Judéo-Chrétienne de France, née en 1948 à l’initiative de l’historien juif Jules Isaac et d’un petit groupe de protestants, de catholiques, d’orthodoxes et de juifs. C’est le 26 février 1948 que furent jetées à Paris les bases de cette Association, dont la tâche essentielle (article 2 des statuts) est d’oeuvrer par la connaissance, la compréhension, le respect et l’amitié mutuels, à réparer les iniquités du passé à l’égard des juifs et de lutter contre l’antisémitisme et l’antijudaïsme, tout en excluant tout prosélytisme et tout syncrétisme.

Depuis cette date, de nombreux groupes se sont formés dans différentes villes de France, proposant conférences, études bibliques et rencontres conviviales…

Alors, 70 ans d’amitié retrouvée, on ne pouvait pas rater ça ! Et c’est ainsi qu’à l’initiative du groupe d’Amitié judéo-chrétienne de Nantes, une centaine de membres des groupes d’Amitié judéo-chrétienne de l’Ouest se sont retrouvés à Béhuard, près d’Angers, pour une journée de fête, le dimanche 24 juin.

Difficile de traduire ici, en déroulant le programme, toute la qualité des échanges, de l’amitié, de la convivialité qui se sont manifestés tout au long de cette journée entre juifs et chrétiens.

Le matin : une conférence très intéressante et très appréciée, de Jean-Léon Cohen du groupe de Rennes, qui nous a parlé de l’un des fondateurs de l’Amitié Judéo-Chrétienne de France, Jules Isaac.

Joël Thierry, du groupe de Rennes,  nous a fait ensuite une synthèse remarquable de trois conférences de l’Assemblée Générale de l’AJCF à Saint Germain en Laye les 10 et 11 mai, données par Mireille Hadas Lebel, Jacqueline Cuche et Florence Taubmann. autour de l’avenir de l’AJCF.

Quelques témoignages se sont alors succédés, notamment celui émouvant de Juliette Gauffriau, mémoire vivante du groupe de Nantes, que nous avons ensuite fêtée et entourée de notre affection au cours de l’apéritif et du déjeuner, à l’occasion de ses 90 ans.

L’après-midi : place à la musique ! Et ce jour-là c’était la musique klezmer qui était à l’honneur, avec deux artistes professionnels : Amit Weisberger et Jérome Bloch, qui nous ont fait passer un bon moment dans l’ambiance joyeuse des shtetls.

Possibilité était bien sûr offerte de visiter la toute petite île de Béhuard, la maison diocésaine et la chapelle, dont le Père Philippe Loiseau est le chapelain. Un merci tout particulier à Philippe qui nous a accueillis avec tant de gentillesse et qui, pour ceux qui le souhaitaient, a concélébré avec le Père Michel Remaud la messe de ce dimanche. Une belle coïncidence : les textes étaient ceux de la naissance de Saint Jean-Baptiste, le prophète qui se trouve vraiment au point de jonction de l’Ancien et du Nouveau Testament !

N’hésitez pas à consulter sur le site du diocèse d’Angers (c’est à noter !), le compte-rendu réalisé par Jean-Pierre Houdu, président de l’AJC Angers, qui nous a d’ailleurs bien aidés dans la préparation et l’exécution de la célébration eucharistique. Merci, Jean-Pierre. https://foi.diocese49.org/les-70-ans-de-l-ajcf-fetes-a-behuard  

Pour vous donner quelques petits clins d’oeil sur cette journée, nous vous proposons un très joli diaporama, réalisé par Jean-Pierre Hanel, du groupe de Nantes. Cela vaut le détour !

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La Toussaint

Habitués à entendre parler souvent ici des fêtes juives, permettez  que pour une fois nous mettions en valeur une fête chrétienne.

Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. C’est une solennité célébrée le 1er novembre par l’Eglise catholique latine et différentes dénominations protestantes et le premier dimanche après la Pentecôte par les Eglises catholiques orientales de rite byzantin et l’Eglise orthodoxe en l’honneur de tous les saints, connus et inconnus, foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
 

Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l’Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus.
Cette fête est donc aussi l’occasion de rappeler que tous les hommes sont appelés à la sainteté : « Soyez saints, car je suis saint, moi, le Seigneur votre Dieu » (Lévitique 19,1), sainteté à chercher par des chemins différents, parfois surprenants ou inattendus, mais tous accessibles.

La fête de la Toussaint est inséparable du jour de prière pour les défunts, que l’Église commémore le 2 novembre. La première célébration s’est vécue dans la joie; la seconde est plus en lien avec les souvenirs envers ceux que nous avons aimés.

Les sources pour vous informer sur cette fête sont nombreuses, mais nous vous recommandons particulièrement le site de la Conférence des évêques de France, site officiel de l’Eglise Catholique en France, qui a réalisé tout un dossier à l’occasion de cette  fête. N’hésitez pas à vous y rendre et à cliquer sur les différentes propositions qui vous sont faites :

– qu’est-ce que la Toussaint ?                       – d’où vient la fête de la Toussaint ?

– qu’est-ce que la sainteté ?                          – le culte des saints chez les chrétiens

– Toussaint ou Halloween ?      etc..

Vous pouvez aussi obtenir de la documentation sur le site du Cybercuré, vers lequel nous vous avons déjà renvoyés plusieurs fois et qui est toujours de bonne qualité.

Mais plus proche de nous, ne manquez surtout pas l’interview par Maddy Verdon sur Radio Fidélité du Père Hubert VALLET, à propos de la Communion des Saints.

Vous trouverez les dates de diffusion ici.

Belle Fête de la Toussaint !

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Conférence de J.F. BENSAHEL le 11 mai 2017

Vous êtes invité(e)s à la Conférence qui sera donnée par

Jean-François BENSAHEL

président de l’Union libérale israélite de France

jeudi 11 mai 2017 à 20 h 30

au CCAN (Centre culturel André Néher), 6 impasse Copernic à NANTES

sur le thème :

« Une fraternité pour aujourd’hui et pour demain »

 

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Un petit coup de colère…, à propos de la circoncision

En ce début d’année, et surtout en ce dimanche premier janvier, nous avons été plusieurs de l’AJC Nantes à éprouver un certain sentiment de colère en participant à la célébration dominicale de la messe en l’honneur de « Sainte Marie, Mère de Dieu », selon l’intitulé du calendrier liturgique.

Pourquoi donc cette colère ? Tout simplement parce que jadis, le premier janvier on célébrait la fête de la Circoncision de Jésus et que depuis quarante ans l’Eglise catholique a décidé de supprimer cette fête et de la remplacer par une fête de la Vierge Marie. Une de plus ! L’année commence donc par une fête de Marie et non pas par celle de la circoncision d’un petit enfant juif, acte qui inscrivait bien cet enfant dans l’Alliance avec Dieu ! Belle occasion manquée d’insister sur la judéité de Jésus, de rappeler que Jésus était juif et que, comme tout enfant juif, il a été circoncis le huitième jour. Certains rites orientaux (orthodoxes) ont heureusement conservé cette fête au début de janvier.

Curieusement, l’évangile retenu pour ce dimanche, fête de Marie, est le passage de Luc, 2,16-21, qui se termine par : « Quand fut arrivé le huitième jour, celui de la circoncision, l’enfant reçut le nom de Jésus, le nom que l’ange lui avait donné avant sa conception« .

Et pourtant,quel est est le prêtre ou le diacre qui dans son homélie de dimanche dernier aura fait, ne serait-ce qu’une allusion  à  la circoncision qui insérait l’enfant Jésus dans le peuple de l’Alliance ?

Alors il nous a semblé bon de nous joindre au coup de colère de René Guyon, en 2014, sur le blog « Garrigues et sentiers » (site que nous vous recommendons chaleureusement, et que nous remercions)..

L’article commence ainsi :

« Chers amis Internautes, si j’écris aujourd’hui cet article c’est parce qu’en ouvrant mon mensuel Magnificat je viens d’être pris soudain d’une sainte colère à la vue d’un fait que j’avais oublié. Le voici…

Le 1er janvier, soit 8 jours après Noël dans le décompte ancien, l’Église Catholique Romaine célébrait jusqu’en 1974 la fête de la Circoncision de Jésus. Hélas, trois fois hélas, le pape Paul VI la remplaça alors par la célébration de Sainte Marie, Mère de Dieu 1.

Exit la manifestation fondamentale de la judéité de Jésus au profit d’une énième fête de la Vierge… 2

Pourtant, Luc (seul évangéliste à le faire, hélas !) écrit dans son Évangile : « Et lorsque furent accomplis les huit jours pour sa circoncision, il fut appelé du nom de Jésus, nom indiqué par l’ange avant sa conception », car les juifs ne donnaient – et ne donnent aujourd’hui encore – le nom à leur fils qu’au bout de ce délai de huit jours.

Paul de Tarse (saint Paul), juif aussi, parle plusieurs fois de la circoncision, sujet délicat et fort débattu dans les premiers temps de ce qui n’était pas encore l’Église, où les premiers païens convertis se faisaient circoncire. Il développe en particulier le concept de circoncision du cœur (Romains 2,29), mais il « clôt le débat » avec sa proclamation magnifique (Colossiens 3,11) : « Là, il n’est plus question de Grec ou de Juif, de circoncision ou d’incirconcision, de Barbare, de Scythe, d’esclave, d’homme libre ; il n’y a que le Christ, qui est tout et en tout. » …

Mais c’est tout le texte de René Guyon qu’il faut lire :  ici sur « Garrigues et sentiers ». Cela en vaut la peine.

Pour en savoir plus, vous pourrez aussi vous rendre à cette adresse, sur le site de l’Amitié Judéo-chrétienne de France.

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Une belle rencontre à faire au CCAN

Mercredi 14 Octobre à 20h30,

au Centre Culturel André Néher (CCAN)

6 impasse Copernic à NANTES

Raphaël Jerusalmy

 

écrivain israélien, au parcours hors du commun ((lire dans la pièce jointe la présentation qu’il fait de lui-même).

17 ans dans les services de renseignements de Tsahal, il a été l’un des deux agents de l’armée en contact (discret) avec tous ses « collègues » arabes de la région.

Après avoir pris sa retraite de l’armée, il a mené des actions à caractère éducatif et humanitaire.

Aujourd’hui, il vit à Tel Aviv où il est spécialisé dans les livres anciens parus dans des éditions rares.

Et surtout, c’est un romancier qui prend plaisir à essayer de faire basculer le cours de l’histoire. (Bibliographie dans la PJ)

Ne manquez pas cette rencontre avec un auteur aussi romanesque que ses personnages !

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