Théâtre, expo, témoignages : VOIX & VISAGES DE LA DEPORTATION

Un week-end de théâtre, conférences, témoignages à l’occasion du 80°anniversaire de la libération d’Auschwitz.

Notamment une pièce remarquable « le 20° convoi » samedi à 19h et dimanche à 16h30 ; et aussi samedi et dimanche à 14h témoignages théâtralisés de déportés nantais .

C’est au Dix à Chantenay les 25 et 26 janvier.

Le mieux est de vous rendre sur le site du COLLECTIF DES DIX à cette adresse :

 

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Les voeux de l’AJCF Nantes pour 2025

Bonne Année

Vive l’année

nouvelle !

2024 se termine, année très difficile à bien des égards. 

Meilleurs voeux à tous de la part des membres du Conseil d’administration de notre association.

Souhaitons que paix et sérénité vous accompagnent chaque jour, que notre amitié entre juifs et chrétiens nous enrichisse mutuellement dans la confiance et dans la joie.

Nous espérons vous revoir bientôt lors de nos prochaines rencontres AJC Nantes, dans l’espérance d’une année de paix et de fraternité.

A cette occasion, nous sommes heureux de vous retransmettre un article du Père Michel REMAUD  [« que sa mémoire soit une bénédiction (זצ »ל)] , à la suite des recherches de l’AJCF Lyon que nous remercions vivement, article paru sur le site de « Un Echo d’Israël » il y a maintenant quelques années.

«  » »La période qui s’étend du 25 décembre au 1er janvier est communément désignée par l’expression de « fêtes de fin d’année ». Ces huit jours voient se succéder des célébrations chrétiennes (La Nativité ou Noël, l’Épiphanie), (la Saint-Sylvestre, la fête de la circoncision), civiles et parfaitement païennes.

Michel Remaud y revient et donne à ce sujet quelques précisions historiques et liturgiques.

Paru sur le site Un Echo d’Israël le jeudi 23 décembre 2004, revu par l’auteur en décembre 2011. » » »…

Merci, Michel REMAUD, c’est passionnant et très instructif. Téléchargez l’article.

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Hanoucca 5785-Noël 2024 : Lumière et espérance en partage

Nous relayons bien volontiers un article du site national de l’AJCF.

« Cette année, la superposition des fêtes de HANOUCCA et NOËL est plus que jamais porteuse d’espoir pour le triomphe de la lumière, de la justice et de la paix entre les peuples.

Belles fêtes de la Lumière et de l’ Éspérance à tous et Paix sur le monde

 Pasteur et Rabbin en dialogue autour des sens de Hounoucca, Site Akadem

Ces deux fêtes sont symbolisées l’une, par l’allumage quotidien d’une bougie de plus chaque soir pendant huit jours par nos amis juifs, cette année à partir du 25 décembre au 2 janvier à la tombée de la nuit, et l’autre par l’allumage, pour nos amis chrétiens, d’une bougie de plus pendant les célébrations de l’Avent les 4 dimanches qui précèdent la date du 24 décembre, date à laquelle l’illumination de l’arbre de Noël dans plusieurs foyers, certains monuments et les rues de plusieurs villes occidentales est offerte à tous, comme signe de retour à la Lumière pour l’humanité toute entière. »

lire la suite : hhttps://www.ajcf.fr/Hanoucca-5785-Noel-2024-Lumiere-et-esperance-en-partage.htmlttps://ajcnantes.ovh/wp-admin/post.php?post=1981&action=edit : Hanoucca 5785-Noël 2024 : Lumière et espérance en partage

Sympathique… le quotidien LE MONDE ( plus exactement LE MONDE DES RELIGIONS s’intéresse aussi à la simultanéité des 2 fêtes, dont vous pourrez voir au moins le début de l’article ici : https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2022/12/19/noel-et-hanoukka-sont-elles-des-fetes-jumelles_6154999_6038514.html

nativity scene with hand-colored figures made out of wood

Mais pour en savoir plus sur le sens des fêtes Hanouca et Noël.
  Sur le sens historique de la fête de HANOUCA, appelée aussi fête de la dédicace-revue SENS

Joyeuses fêtes de Hanouca – Joyeuses fêtes de Noel

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« La visite de la fanfare », vous connaissez ?

C’est le titre d’un film révélation de Cannes 2007, du réalisateur israélien Eran Kolirin.

Et ce film vous est proposé par l’AJC, groupe de Nantes,

au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes

mercredi 11 décembre à 15 h 00

Le sujet : Un jour, il n’y a pas si longtemps, une petite fanfare de la police égyptienne vint en Israël. Elle était venue pour jouer lors de la cérémonie d’inauguration d’un centre culturel arabe. Seulement, à cause de la bureaucratie, d’un manque de chance ou de tout autre concours de circonstance, personne ne vint les accueillir à l’aéroport. Ils tentèrent alors de se débrouiller seuls, pour finalement se retrouver au fin fond du désert israélien dans une petite ville oubliée du monde. Un groupe de musiciens perdu au beau milieu d’une ville perdue. Peu de gens s’en souviennent, cette histoire semblait sans importance…

Comique de situation absurde, un peu à la Jacques Tati, ce film nous promet de passer un bon moment de détente.

En effet, c’est certainement un bon moment à ne pas manquer !

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« Ma rencontre avec Israël »

Info émanant du Service diocésain pour les relations avec le judaïsme.

 

« Dans le cadre de la rencontre annuelle juifs-chrétiens au cours de laquelle Mgr Laurent Percerou évêque de Nantes reçoit la Communauté juive de Nantes et M. le Rabbin Ariel Bendavid, le Service diocésain des relations avec le Judaïsme invite le père Bernard Fauvarque, jésuite à Lille, à livrer son témoignage : « Ma rencontre avec Israël »

le jeudi 28 novembre 2024 (18h – 20h) à la Maison diocésaine Saint-Clair.

Agé de 102 ans, le père Bernard Fauvarque prêtre est un acteur infatigable du dialogue et de l’amitié entre juifs et chrétiens. Il témoigne sans relâche de son amour pour le Peuple des enfants d’Israël, Peuple de l’unique Alliance de Dieu. Il appelle les chrétiens, plus que jamais en ces temps dramatiques au Proche Orient, à s’ouvrir à la source juive vivifiante.

Entrée libre mais réponse souhaitée au SDRJ : sdrj@catholique-nantes.CEF.fr

A l’issue de cette rencontre un verre de l’amitié casher sera servi ».

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« Se souvenir ensemble »

Nous relayons bien volontiers l’invitation du Centre culturel André Néher (CCAN) pour

dimanche 24 novembre à 15 h

au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes

Claude et Evelyn Askolovitch viendront présenter leur livre et le dédicacer : « Se souvenir ensemble ».

C’est l’histoire d’Evelyn, déportée de Hollande, à l’âge de 4 ans

Sans être un récit sur la Shoah, c’est l’évocation des souvenirs d’une enfant qui a vécu cette tragédie

Mais c’est aussi l’histoire d’un long silence, jusqu’en 2015, date à laquelle Evelyn se décide à témoigner sur son passé, dans les écoles, dans les prisons……pour lutter contre l’oubli.

Son fils Claude est tout à son étonnement lorsqu’il constate que sa mère devenue  » témoin professionnel  » se confie davantage au monde extérieur qu’à sa propre famille.

C’est  l’histoire d’Evelyn et de Claude qui, enfin, se parlent, se cherchent, s’agacent, se consolent.

La mère et le fils se souviennent et finissent par écrire ensemble.  

Claude ASKOLOVITCH est journaliste et écrivain; vous pouvez l’entendre tous les matins présenter la revue de presse sur France Inter.

Claude et Evelyn viendront présenter leur livre et le dédicacer.

La rencontre sera animée par Charles SOUSSAN

Dimanche 24 novembre à 15h

Au Centre Culturel André Neher

6 impasse Copernic  

44000 Nantes

 Entrée libre

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Conférence sur les fêtes juives

Le 22 octobre 2023, à l’occasion de l’Assemblée générale de l’AJCF groupe de Nantes, M. Ariel Bendavid, rabbin de Nantes, avait donné une conférence sur les fêtes juives.

Il se propose de terminer ce cycle :

dimanche 17 novembre 2024 à 15 h

au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes

L’an dernier, ce fut passionnant.

Il en sera certainement de même le 17 novembre.

N’hésitez pas à venir nombreux.

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« Comme l’espérance est violente »

Dans notre rubrique « Lis, lisons, lisez… » nous sommes heureux d’accueillir la  recension réalisée par Maddy VERDON, ancienne présidente de l’AJC groupe de Nantes. Elle concerne le dernier ouvrage du Grand Rabbin Haïm KORSIA :

« Comme l’espérance est violente« 

« Quelques réflexion sur le dernier ouvrage de Haïm Korsia

« Au mois de mai 2024, le Grand Rabbin Haïm Korsia a fait paraître un nouvel  ouvrage aux Editions Flammarion. Cet ouvrage porte un titre emprunté au poème « Alcools » de Guillaume Apollinaire : «  Comme l’espérance est violente »

« Dans cet essai, le Grand Rabbin  nous emmène avec lui dans une réflexion sur l’espérance. Un sujet décalé dans ce monde qui ne vit que violence, incertitude sur le présent  et angoisse sur l’avenir…

« Cet homme de foi ose proposer à ses lecteurs ce qui nourrit sa vie malgré l’horreur du 7 octobre 2023, l’espérance en  l’homme, l’espérance dans sa capacité à faire ensemble « Je crois à ce qui nous élève et nous rassemble ».

« Tout au long des 200 pages de cet essai, Haïm Korsia nous propose, en lien avec les textes bibliques,  sa vision de l’homme dans ce qu’il a de plus noble, dans sa capacité à faire mieux, dans l’occasion qu’il se donne de se rassembler avec les autres hommes dans un souci d’intérêt général « Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse ».

« Ainsi, il écrit, qu’il n’est pas utile de se ressembler pour se rassembler. Bien au contraire, faisons taire nos divisions et enrichissons-nous des capacités extraordinaires que nous pouvons développer au sein d’une fraternité vraie. « Pour ceux qui croient, ceux qui ne croient pas, ceux qui ne savent pas en quoi croire encore à quelque chose, le combat est le même : c’est en donnant que l’on reçoit, en accueillant que l’on s’enrichit, en partageant que l’on grandit »    

« Cet ouvrage est lumineux dans le monde que nous vivons actuellement. Il nous ramène à ce que nous avons de meilleur. Il nous ramène à l’espérance, à cette petite fille Espérance de Charles  Peguy qui n’est pas morte en chacun de nous. Elle n’est qu’assoupie et ne demande qu’à se réveiller pour aider le monde à retrouver la voie de la fraternité.

« Dans la conclusion de son ouvrage, le Grand Rabbin Haïm Korsia fait une synthèse de l’état du monde et plus précisément de celui de la France. Cela l’amène à écrire dans sa longue conclusion « A la perte de sens qui nous menace peut succéder une profusion de sens : ceux-là, ce sont les artistes, les poètes, les imaginatifs et les créatifs qui nous les offrent. Il n’y a pas de désespoir qui tienne dès lorsque l’on entre dans l’action, que l’on envisage de ne pas refaire les choses telles qu’elles ont toujours été mais plutôt de les faire tout autrement. »

« Voici une belle réflexion à lire pour nous redonner confiance et espérance ! »

Titre                Comme l’espérance est violente

Auteur           Haïm Korsia, Grand Rabbin de France

Editeur           Flammarion

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Sim’hat Torah et Toussaint

Voici une surprenante comparaison mais un excellent article de M. Jean-Dominique DURAND, président de l’AJCF, article que l’on peut trouver sur le site de l’Amitié judéo-chrétienne de France.

Nous vous proposons le début de l’article. Vous pourrez continuer la lecture sur le site de l’AJCF.

« Sim’hat Torah, les 24 et 25 octobre 2024, est la dernière des grandes fêtes du mois de Tichri (Roch Hachana, Yom Kippour, Souccot). C’est une fête joyeuse qui marque la fin et le début du cycle annuel de la lecture de la Torah sur le rouleau d’un Sefer Torah. Les fidèles sortent les rouleaux et dansent avec ceux-ci dans les bras. C’est un jour de joie.
À Toussaint, le 1er novembre de chaque année, les chrétiens honorent leurs saints connus et inconnus, et le lendemain, tous les morts, c’est le jour du plus grand fleurissement des cimetières.

Sim’hat Torah et Toussaint sont deux fêtes très différentes, mais cette année, rapprochées par leur proximité dans le calendrier.

Les deux fêtes n’ont guère de points communs, mais cette année, comment ne pas se souvenir de Sim’hat Torah de l’an passé, le 7 octobre 2023 ?
Ce jour-là, un pogrom à visée génocidaire a surgi en terre d’Israël, bouleversant à jamais cette belle fête. Il a rappelé que la Shoah n’est pas terminée, la volonté de détruire le peuple juif habite toujours nombre d’esprits. Sim’hat Torah 2023 est pour tous les juifs et pour leurs amis, un jour de tristesse. Ici la fête juive rejoint dans le recueillement la célébration chrétienne. »…

Pour continuer la lecture : https://www.ajcf.fr/Shim-hat-Torah-et-Toussaint.html

Profitez-en pour explorer le site de l’AJCF, qui vous tient au courant de la vie de notre association

et n’hésitez pas à vous abonner à notre blog :

https://www.ajcnantes.fr

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Sim’hat Tora – La fête de la Tora

Dans le calendrier juif, c’est la fin des fêtes d’automne mais c’est surtout la fin du cycle de lecture de la Tora et le début du nouveau cycle : c’est la fête de la Tora, ou plus exactement de

« la joie de la Tora » (Sim’hat Tora).

Elle a lieu le 23 Tichri, en conclusion de la fête de Souccot,

cette année vendredi 25 octobre 2024 (début jeudi 24 au soir).

 Sim’hat Tora n’est pas d’origine biblique. Cette fête ne vient pas non plus du Talmud. Elle est liée, en fait,  au cycle des lectures de la Tora. Elle est apparue vraisemblablement au IXème siècle. Sim’hat Tora clôture le cycle annuel de lecture de la Tora. Au cours de cette fête on remercie Dieu pour le don de la Tora, au moment où recommence le nouveau cycle annuel de lecture..

Sim’hat Tora se caractérise par un office particulièrement joyeux.

Après avoir enchaîné la lecture des derniers versets du Deutéronome (dernier livre de la Tora) et les premiers de la Genèse (« Au commencement… »), tous les rouleaux de la Tora sont sortis de l’arche sainte et portés par les fidèles, grands et petits, qui tournent sept fois autour de l’estrade de lecture (la bima), chantant et dansant en joyeuse procession. En Israël, ces processions débordent souvent dans les rues. C’est en effet l’occasion de grandes réjouissances dans les communautés juives d’Israël et de la Diaspora à travers le monde.

Après les « jours redoutables » de Roch haChana et de Kippour, les fêtes de Tichri, dans le calendrier hébraïque, s’achèvent dans la joie de Soukkot et de Sim’hat Tora : c’est la joie de la lecture de la Tora !

Vous pouvez vous rendre sur le site de l’Amitié judéo-chrétienne de France à l’adresse suivante : AJCF. Vous y trouverez quelques informations sur le sens de cette fête et notamment un renvoi au site d’Akadem, le campus numérique juif, pour une conférence du rabbin Philippe Haddad, que nous connaissons bien à Nantes, et qui a reçu le 11 juillet 2021 le prix de l’Amitié judéo-chrétienne de France, lors de la session  « Découvrir le judaïsme »  qui s’était tenue à Nantes au Loquidy du 9 au 12 juillet :

Sim’hat Tora : la Tora au bout du rouleau.

Pour avoir une idée de la joie immense de cette fête autour des rouleaux de la Tora, vous pouvez regarder cette vidéo :

Hag samea’h à tous nos amis

Joyeuses fêtes !

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